Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le mars 19, 2025
Table des matières
«Bruxelles s’accompagne d’un plan d’action pour le secteur européen de l’acier»
«Bruxelles s’accompagne d’un plan d’action pour le secteur européen de l’acier»
La Commission européenne viendra à la rescousse de sa propre industrie sidérurgique de diverses manières. Cela ressort d’un document qui sera publié mercredi et qui est entre les mains de FD.
De nombreux producteurs d’European Steel ont du mal, en partie à cause de la concurrence de la Chine et des droits d’importation américains sur l’acier et l’aluminium. Avec de nouvelles mesures contre, entre autres, des staaldumps chinois et des prix élevés de l’énergie, l’UE veut offrir un contrepoids.
Prix élevés de l’énergie
La Commission européenne déclare dans le plan d’action que le secteur de l’acier est très important pour la sécurité économique et la stabilité sociale. Selon le comité, la capacité de l’industrie sidérurgique européenne est désormais utilisée pour environ 65%. Cela doit au moins être de 85% pour pouvoir bien rivaliser.
Pour aider le secteur, par exemple, Bruxelles veut faire quelque chose à des prix d’énergie élevés pour le secteur européen de l’acier. Le gaz est environ cinq fois plus cher en Europe qu’aux États-Unis. Les grands consommateurs des entreprises sidérurgiques sont durement touchés. La Commission européenne souhaite que ces entreprises puissent obtenir des taux nets inférieurs à ceux des autres. Ils doivent également être prioritaires lors de la connexion aux réseaux d’électricité, au-dessus des autres types d’entreprises.
Un autre problème brûlant est de vider l’acier sur le marché européen par la Chine, entre autres. Cela se produit déjà, mais comme les nouveaux droits d’importation américains sur l’acier et l’aluminium de 25%, la Commission européenne a peur que le dumping augmente encore plus. Grâce à l’acier bon marché en provenance de Chine, les prix du marché diminuent, ce qui rend les producteurs européens difficiles à rester compétitifs.
L’UE a pris des mesures contre cela précédemment, y compris les quotas d’importation. Si les parties importent plus d’un certain montant, elles paient un prélèvement à ce sujet. Cette mesure, qui serait en vigueur jusqu’au 30 juin de l’année prochaine, sera prolongée et resserrée.
Taxe de limite de CO2
La taxe dite de limite de CO2 de l’UE est également révisée. Les entreprises qui produisent dans l’UE paient les gaz à effet de serre qui sont libérés. Le secteur de l’acier relève également de cette mesure. Avec la taxe de limite de CO2, ces sociétés doivent être protégées contre les importations des régions où les règles climatiques moins strictes s’appliquent.
Les sociétés sidérurgiques européennes estiment que cette taxe frontalière ne fonctionne pas correctement maintenant.
De plus, le prélèvement ne s’applique qu’à l’acier, mais pas aux produits contenant de l’acier. Les nouveaux plans incluent la promesse que la Commission européenne proposera une proposition à la fin de cette année pour rencontrer des producteurs.
Le nouveau plan d’action de Bruxelles n’est pas exclusivement destiné à l’acier, mais aussi sur des métaux tels que l’aluminium, le cuivre et le nickel. Tous ces métaux sont également importants pour les plans de défense européens, souligne l’UE dans le plan.
Secteur de l’acier européen
Soyez le premier à commenter