Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le août 16, 2022
Chrystia Freeland, Le Canada et le Forum économique mondial – Où vont ses loyautés ?
Chrystia Freeland, Le Canada et le Forum économique mondial – Où vont ses loyautés ?
Depuis le début de la grande pandémie de COVID-19 en 2020, le Forum économique mondial et son récit dystopique de la grande réinitialisation ont attiré beaucoup d’attention négative de la part de la classe des serfs qui sera soumise à ses opinions sur le monde post-pandémique. Une politicienne du Canada est l’une des fidèles de Klaus Schwab et a déjà joué sa main, nous montrant à quoi pourrait ressembler l’avenir.
La représentante canadienne de la classe mondialiste, Chrystia Freeland, est présentée comme un successeur potentiel de Justin Trudeau dont les taux d’approbation ne sont pas favorables à un gouvernement majoritaire lors des prochaines élections. Examinons de plus près les loyautés partagées de Mme Freeland.
Commençons par cette liste montrant les leaders mondiaux les plus élitistes du Forum économique mondial pour demain à partir de l’an 2000 que vous pouvez trouver ici:
À cette époque, Chrystia Freeland n’était qu’une rédactrice numérique pour Reuters, mais avait été choisie par Klaus Schwab et al en tant que futur leader.
Avançons de près de deux décennies. Le dernier jour de l’édition 2019 du Forum de Davos, le annonce suivante a été faite:
Bien que vous puissiez penser que cette position n’est que symbolique, en fait, voici ce que le WEF a à dire sur le rôle de son conseil d’administration :
« Le Forum est présidé par le fondateur et président exécutif, le professeur Klaus Schwab. Il est guidé par un conseil d’administration, des personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs, et supervisent le travail du Forum dans la promotion d’une véritable citoyenneté mondiale.
Le conseil d’administration comprend des dirigeants exceptionnels du monde des affaires, de la politique, du monde universitaire et de la société civile. Dans leur travail au sein du Conseil, les membres ne représentent aucun intérêt personnel ou professionnel. Afin de refléter le statut multipartite du Conseil, sa composition est répartie à parts égales entre des représentants du monde des affaires et des dirigeants d’organisations internationales et de la société civile.
Ici est le communiqué de presse post-2019 de la réunion de Davos du gouvernement canadien vantant le rôle important de Mme Freeland dans l’événement :
Passons à 2020. Sans surprise, Mme Freeland était présente à la réunion de Davos dans ses co-rôles de membre du conseil d’administration du WEF et de vice-première ministre du Canada. Ce qui me surprend, c’est que les contribuables canadiens ont payé pour son voyage à l’étranger, comme indiqué ici:
Étant donné que le Forum économique mondial est une fondation privée exonérée d’impôt dont les donateurs comprennent les personnes les plus riches du monde et les entreprises les plus importantes et les plus influentes et que la loyauté de Mme Freeland est évidemment partagée entre son rôle de membre du conseil d’administration du WEF et son rôle au gouvernement fédéral du Canada, on peut se demander pourquoi diable les contribuables canadiens ont déboursé plus de 12 000 $ pour un billet d’avion pour qu’elle assiste à l’assemblée annuelle de son autre employeur, d’autant plus que le WEF déclaration d’activités pour 2020 – 2021 ressemble à ceci avec un franc suisse converti en un dollar américain :
Compte tenu du rôle de Freeland en tant que membre clé d’un groupe dont le rôle est de renverser le processus démocratique dans les nations du monde entier en imposant le capitalisme des parties prenantes où le secteur privé prend le relais du rôle actuellement joué par les gouvernements nationaux dans l’économie, il est évident que les parlementaires du Canada doivent adopter des lois qui empêchent ce type de conflit d’intérêts. Il faut se demander comment Mme Freeland gérerait une situation où son rôle d’administratrice du WEF entrerait en conflit direct avec son rôle de vice-première ministre et ministre des Finances. Nous ne pouvons que deviner où se situe sa loyauté, une question qui préoccupe beaucoup tous les Canadiens étant donné qu’elle a décidé en février 2022 de geler fièrement (et plutôt joyeusement malgré son affirmation que les mesures « ne lui faisaient aucun plaisir ») les comptes bancaires des Canadiens dont les opinions elle n’était pas d’accord comme vous pouvez le voir ici:
Est-ce juste un modèle préliminaire pour le mantra du WEF « vous ne posséderez rien et serez heureux » ?
Soit dit en passant, ce n’est pas le seul conflit d’intérêts potentiel de Mme Freeland.Jusqu’à sa démission en mai 2021, Freeland a également été administrateur du conseil d’administration de l’Aspen Institute Kyiv :
L’Aspen Institute Kyiv est membre du réseau international Aspen Institute, une organisation à but non lucratif (think tank) dont mission est d’aider à résoudre les défis les plus importants auxquels sont confrontés les États-Unis et le monde.Ici est quelques informations supplémentaires sur la division de Kyiv :
Clôturons cet article sur cette pensée. Dans le communiqué de presse annonçant la nomination de Freeland au conseil d’administration du WEF, le WEF déclare ce qui suit :
« Le conseil d’administration est le gardien de la mission et des valeurs du Forum économique mondial. »
Qui est le gardien du Canada et des valeurs canadiennes?
Chrystia Freeland
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