Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le juin 8, 2023
Financement du Traité sur la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé
Financement du Traité sur la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé
Alors que sa mise en œuvre est à peu près ignorée par les médias sur les dinosaures, le traité sur la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé se rapproche de plus en plus de l’adoption par les non-penseurs élus qui contrôlent le monde occidental aujourd’hui. Il y a un aspect clé du traité qui devrait être important pour nous tous étant donné que nous, les contribuables du monde, paierons, que cela nous plaise ou non.
Commençons par examiner le contexte du traité sur la pandémie connu en interne sous le nom de « Convention, accord ou autre instrument international de l’OMS sur la prévention, la préparation et la riposte en cas de pandémie” alias WHO CA+ et pourquoi l’Organisation mondiale de la santé estime que sa mise en œuvre est une nécessité :
« En reconnaissance de l’échec catastrophique de la communauté internationale à faire preuve de solidarité et d’équité en réponse à la pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19), l’Assemblée mondiale de la santé a convoqué une deuxième session extraordinaire en décembre 2021, où elle a créé un organe intergouvernemental de négociation ( INB) ouvert à tous les États membres et membres associés (et aux organisations régionales d’intégration économique, le cas échéant) pour rédiger et négocier une convention, un accord ou un autre instrument international de l’OMS sur la prévention, la préparation et la riposte à une pandémie, en vue de son adoption en vertu de l’article 19, ou en vertu d’autres dispositions de la Constitution de l’OMS jugées appropriées par l’INB.
Évidemment, la mise en œuvre de ce formidable traité pandémique nécessitera un financement continu. Sous l’article 19 « Financement durable et prévisible » de l’avant-projet du CA+ de l’OMS, on retrouve ceci avec mes gras :
« 1. Les Parties reconnaissent le rôle important que jouent les ressources financières dans la réalisation de l’objectif du CA+ de l’OMS et la responsabilité financière première des gouvernements nationaux dans la protection et la promotion de la santé de leurs populations. À cet égard, chaque Partie :
a) coopère avec les autres Parties, dans la limite des moyens et des ressources à sa disposition, pour mobiliser des ressources financières pour la mise en œuvre efficace du CA+ de l’OMS par le biais de mécanismes de financement bilatéraux et multilatéraux ;
(b) planifier et fournir un soutien financier adéquat en fonction de ses capacités budgétaires nationales pour : (i) renforcer la prévention, la préparation, la réponse et le rétablissement des systèmes de santé en cas de pandémie ; (ii) la mise en œuvre de ses plans, programmes et priorités nationaux ; et (iii) le renforcement des systèmes de santé et la réalisation progressive de la couverture sanitaire universelle ;
(c) s’engager à donner la priorité et à augmenter ou maintenir, y compris par une plus grande collaboration entre les secteurs de la santé, de la finance et du secteur privé, selon qu’il conviendra, le financement national en allouant dans ses budgets annuels au moins 5 % de ses dépenses de santé actuelles à la prévention et à la préparation en cas de pandémie , la riposte et le relèvement des systèmes de santé, notamment pour améliorer et maintenir les capacités pertinentes et travailler à la réalisation de la couverture sanitaire universelle ; et
(d) s’engager à allouer, en fonction de ses capacités respectives, XX % de son produit intérieur brut à la coopération et à l’assistance internationales en matière de prévention, de préparation, d’intervention et de rétablissement des systèmes de santé en cas de pandémie, en particulier pour les pays en développement, y compris par le biais d’organisations internationales et d’organismes existants et de nouveaux mécanismes.“
Notez qu’en vertu de la sous-section (d), l’avant-projet ne précise pas le pourcentage réel du PIB d’un pays qu’il doit s’engager à dépenser pour la prévention, la préparation et la réponse à la pandémie, mais il est plutôt répertorié comme « XX % ». Cela mérite d’être surveillé, car nous pourrions constater que nos dirigeants ont pris des engagements bien au-delà de ce qui est fiscalement raisonnable, en particulier compte tenu du niveau élevé et croissant de la dette publique aujourd’hui, envers l’Organisation mondiale de la santé, un organisme non gouvernemental non élu. corps qui s’est avéré incompétent pendant la pandémie de COVID-19 et qu’il fonctionne comme le bras santé de Bill Gates.
En vertu du traité sur la pandémie, les signataires seront obligés de consacrer au moins 5 % de leurs dépenses de santé actuelles à la préparation à une pandémie. Cela variera évidemment d’une nation à l’autre puisque, comme indiqué sur ces graphiques, les dépenses de santé provenant de sources publiques en pourcentage des dépenses totales de santé varient considérablement d’un pays à l’autre :
De nombreux pays souffrent déjà de systèmes de soins de santé publics sous-financés ou mal financés (c’est-à-dire le Canada) avec des temps d’attente, des pénuries de médecins et d’infirmières et d’autres problèmes négatifs qui affligent les systèmes de soins de santé. L’idée même d’allouer l’argent des contribuables supplémentaires à l’Organisation mondiale de la santé devrait, à tout le moins, nous mettre tous très en colère et nous devrions insister pour que nos politiciens n’adhèrent pas au traité sur la pandémie puisqu’ils ont déjà prouvé qu’ils étaient inepte lorsqu’il s’agit de faire fonctionner efficacement des systèmes de soins de santé financés par l’État.
Traité sur la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé
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