Il n’y a pratiquement aucune chance de réduction de la fertilité à cause de la chlamydia, GGD ajuste sa politique de test

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le juillet 12, 2024

Il n’y a pratiquement aucune chance de réduction de la fertilité à cause de la chlamydia, GGD ajuste sa politique de test

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Il n’y a pratiquement aucune chance de réduction de la fertilité à cause de la chlamydia, GGD ajuste sa politique de test

Selon des recherches récentes, une infection par la chlamydia, une maladie vénérienne, ne comporte qu’un très faible risque de diminution de la fertilité. Sur la base de ces nouvelles connaissances scientifiques, le GGD ajustera sa politique de tests l’année prochaine.

Pendant des années, la chlamydia a été considérée comme une cause majeure d’infertilité chez les femmes. femmes. C’est pour cette raison qu’une vaste campagne a été lancée sur la prévention, le diagnostic et le traitement des MST. La chlamydia est actuellement toujours traitée de manière standard avec des antibiotiques, même s’il n’y a aucune plainte.

De nouvelles recherches montrent que dans la plupart des cas, les MST disparaissent d’elles-mêmes sans provoquer d’effets nocifs. De plus, rien ne prouve que l’approche actuelle soit efficace.

Évitez le surtraitement

À partir de janvier 2025, le GGD ne testera donc plus systématiquement la chlamydia chez les personnes sans plainte. Cela évite le surtraitement et contribue à lutter contre la résistance aux antibiotiques. Les personnes qui se plaignent sont toujours testées.

Chaque année, des milliers de personnes subissent un test de dépistage de la chlamydia sans se plaindre, souvent en association avec la gonorrhée. Cela n’entraîne pas une diminution du nombre d’infections à chlamydia. Le GGD continuera à tester la gonorrhée.

En 2023, plus de 24 000 diagnostics de chlamydia ont été posés dans un centre de santé sexuelle du GGD. Cela s’est produit dans 45 pour cent des cas en femmes et dans 23 pour cent des cas chez les hommes hétérosexuels.

STD SIDA Pays-Bas qualifie l’ajustement de la politique de dépistage de bonne nouvelle. «De nombreuses personnes ont peur depuis des années des conséquences négatives de cette MST. Ces nouvelles connaissances montrent donc que cette crainte est largement infondée », déclare Hanna Bos, médecin spécialiste de la lutte contre les maladies infectieuses.

L’organisation souligne qu’il reste très important de prévenir les MST et d’utiliser un préservatif. Le dépistage des MST reste également important.

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